Experts en : Canada
BASTIEN, Frédérick
Professeur titulaire
- Communication politique
- Élections
- Journalisme
- Médias
- Méthodologie
- Opinion publique
- Canada
- Canada (Québec)
- Europe
- Méthodologie de recherche
- Politique canadienne
- Politique québécoise et canadienne
Mes activités d’enseignement et de recherche sont principalement consacrées à la communication politique. Je m’intéresse de façon plus précise à la médiatisation et au journalisme politiques, aux usages politiques du web et des médias sociaux, à l’hybridation des genres entre l’information et le divertissement, de même qu’aux campagnes électorales qui, par définition, sont des opérations de communication. La qualité de l’information et l’efficacité de sa transmission vers les citoyens sont les principales préoccupations qui motivent mes recherches sur ces sujets. Je travaille sur ces projets en solo ou en équipe avec des collègues québécois, canadiens et européens. Je suis aussi très intéressé par la méthodologie de recherche, en particulier les techniques de sondage et d’analyse de contenu que j’emploie d’ailleurs dans mes recherches.
Je suis directeur du Centre pour l'étude de la citoyenneté démocratique et chercheur au Groupe de recherche en communication politique, deux structures de recherche qui permettent aux étudiants de maîtrise et de doctorat qui en font partie de se rencontrer, d’échanger sur leurs projets et de recevoir un soutien de la part des professeurs qui en sont membres.
BHERER, Laurence
Chercheuse, Professeure titulaire
- Politique urbaine
- Politiques publiques
- Participation publique
- Théorie délibérative
- Participation des citoyens
- Participation politique
- Partis politiques
- Administration publique
- Politique locale
- Métropoles
- Enjeux environnementaux
- Environnement
- Politique environnementale
- Canada
- Canada (Québec)
- Démocratie
Mes enseignements et mes recherches s’articulent autour de deux axes qui touchent les pratiques démocratiques. Mon premier intérêt est la participation des citoyens à la gestion publique, aussi appelée participation publique, démocratie participative ou gouvernance. La mise en place d’un style plus interactif d’élaboration des politiques publiques correspond à un des phénomènes politiques et administratifs les plus intéressants des dernières décennies car il transforme progressivement les relations entre les citoyens, les élus et l’administration publique. Je m’intéresse particulièrement aux origines, aux effets et à la diffusion des dispositifs participatifs. Mon deuxième thème de recherche est la démocratie locale, c’est-à-dire autant ses institutions, ses réformes, ses acteurs et les relations intergouvernementales. Au Canada, il s’agit d’un champ de la science politique relativement peu connu alors que dans plusieurs pays européens et aux Etats-Unis, il s’agit d’un espace politique privilégié pour étudier les politiques publiques et le fonctionnement des institutions représentatives. Dans cette perspective, mes recherches actuelles portent sur les élections locales, la gouvernance métropolitaine et les politiques de transport en commun.
BOISMENU, Gérard
Professeur émérite, Professeur associé
- État social
- Inégalités sociales
- Pauvreté et exclusion
- Politique publique
- Politique publique comparée
- Sociologie politique
- Politiques sociales
- Théories sociales et politiques
- Mouvements sociaux
- Politique comparée
- Comparatisme
- Institutions politiques comparées
- Canada
- Canada (Québec)
- Fédéralisme
- Libéralisme
Ma programmation de recherche porte depuis plusieurs années sur les politiques publiques, avec une attention particulière sur les politiques sociales en perspective comparée. Les travaux mettent l’accent sur les modèles de régulation du rapport salarial. J’y traite de la réalité canadienne, tout en privilégiant une démarche comparative permettant la mise en perspective.
D’abord incluse dans les études du rapport salarial, la protection sociale deviendra un champ spécifique, alors que l’analyse porte de plus en plus sur le traitement politique des sans-emploi. Il s’agit d’une sphère stratégique de la recomposition de l’État social depuis les années 1980 et, encore davantage, depuis le début des années 2000. La comparaison se fait d’abord au sein du Canada (entre les provinces) et avec les États-Unis, puis s’attaque résolument à l’Europe. La question est notamment posée en termes de déterminants de la transformation des politiques sociales.
Dernièrement, le poste d’observation s’est inversé. Si l’intervention publique était posée dans sa relation aux laissés-pour-compte (sans-emploi), c’est l’analyse de ces derniers (de la pauvreté, des exclus et du précariat) qui est devenue récemment le centre d’intérêt.
Par ailleurs, depuis trente ans, la transformation du fédéralisme canadien constitue un objet d’analyse privilégié. La question constitutionnelle est appréhendée sous l’angle de la recomposition de l’État comme cadre d’exercice du pouvoir. Elle sera de ce fait mise en relation avec ses déterminations sociales (espaces régionaux, nationalités, identités), mais également avec le renouvellement des formes d’expression des politiques publiques, comme la nouvelle gestion publique. Là encore, le domaine des politiques sociales et fiscales occupe une large place.
En 2008, j'ai été nommé doyen de la Faculté des arts et des sciences.
DALPÉ, Robert
Professeur honoraire
Le développement de la science et de la technologie constitue un secteur important d’intervention de l’État dans les pays industrialisés. Les gouvernements ont fortement soutenu les technologies militaires et plus récemment la recherche en santé.
Mes recherches portent sur les politiques publiques qui orientent la direction et l’ampleur de la recherche et des organisations scientifiques. Les politiques mettent actuellement l’accent sur différentes formes d’interaction avec le secteur privé, dans l’objectif de maximiser les retombées économiques des investissements publics. La commercialisation de la recherche via des brevets, des licences ou des spinoffs devient une priorité.
Mes recherches actuelles concernent ces activités de commercialisation dans le secteur des biotechnologies aux États-Unis et au Canada. Les résultats montrent la diversité des pratiques en fonction des stratégies et des perceptions des chercheurs universitaires, de leurs objets de recherche et des opportunités d’affaires pour l’industrie.
DESCHAMPS-LAPORTE, Laurence
Professeure adjointe, Directrice
DUFOUR, Pascale
Chercheuse, Professeure titulaire
- Politique comparée
- Sociologie politique
- Mouvements sociaux
- Action collective
- Genre et politique
- Canada
- Canada (Québec)
- Amérique du Nord
- Europe
- Résolution des conflits
- Relations internationales
- Représentation politique
- Transnationalisme
- Transition démocratique
- Théories sociales et politiques
- Enjeux environnementaux
- Environnement
- Théories féministes
- Espagne
- Démocratie
- Politique urbaine
- Alimentation
Je travaille principalement sur les mouvements sociaux et l’action collective en perspective comparée. Dans mes recherches, je propose de considérer les acteurs collectifs (partis politiques, syndicats, groupes et réseaux plus informels) comme des joueurs majeurs de la vie politique, même si ceux-ci n’évoluent pas directement sur le terrain institutionnel mais investissent davantage les espaces publics informels, comme la rue, et ne s’adressent pas seulement à l’État ou aux institutions, mais aussi à la population ou à leurs alliés.
L’actualité politique a ramené l’analyse de l’action collective et des mouvements sociaux au cœur des préoccupations de la science politique : comment émergent des mouvements, pourquoi et avec quels effets ? Quelles sont les conditions qui permettent à un acteur collectif de durer ? Quel est le rôle de la contestation politique dans la transformation des sociétés ? Une augmentation des actions protestataires signifie-t-elle que la démocratie représentative est malade ou a atteint ses limites ?
Mes recherches soulignent plutôt la complémentarité des différents types d’action politique, voir la continuité qui peut exister entre l’action collective de type contestataire, l’action de type lobbying et l’action partisane.
Dans mes travaux, je montre notamment que la création de rassemblements militants comme les forums sociaux (mondiaux ou locaux), s’ils participent à la mise en pratique d’une culture politique valorisant la démocratie directe et la recherche du consensus, sont aussi une réponse pragmatique à des besoins locaux et un répertoire d’action collective propre à une génération. Mes travaux récents ouvrent l'analyse à des formes d'action (politique) plus individualisée (comme le glanage ou l'agriculture urbaine), mais qui viennent questionner les frontières de l'engagement en société. Également, je cherche à comprendre comment les institutions jouent sur la manière dont les différentes formes d'action politique se déploient et évoluent.
Mes recherches actuelles tentent ainsi de mettre en avant la plus-value théorique de l’analyse des mouvements sociaux et de l’action collective en science politique, qui nous conduisent à considérer sérieusement la question des conflits et des relations de pouvoir et à ne pas hésiter à tourner notre regard de chercheur vers des terrains peu explorés, parfois en marge de nos sociétés.
Les luttes écologistes et leurs effets sur les autres formes de protestation sociale constituent un nouveau terrain d'investigation pour moi, qui me permettra d'analyser les transformations en cours au niveau des organisations et des réseaux, mais aussi au niveau des individus et leur rapport à l'engagement et au politique.
JENSON, Jane
Chercheuse, Professeure émérite, Professeure associée
- Politiques sociales
- Politique publique
- Politique comparée
- Comportement politique
- Citoyenneté
- Amériques
- Europe de l’Ouest
- Développement humain
- Canada
- Époque contemporaine
- Europe
- Amérique latine
- Institutions politiques comparées
- Histoire des idées
- 1945-1989
- 1989-2000
- 2000 à nos jours
- Libéralisme
- Théories sociales et politiques
- Organisations internationales
- Mouvements sociaux
- Union européenne
Le sujet principal de mes recherches au courant de la dernière décennie a été les changements en cours de la citoyenneté sociale, au Canada, en Europe et en Amérique latine. Mon approche théorique découle de l’institutionnalisme historique, avec un accent particulier sur les influences réciproques entre les idées, les institutions et les intérêts. Durant les deux dernières décennies, le travail, la famille et les relations de genre se sont transformés, tout comme les parcours de vie, ébranlant par le fait même toutes les prémisses à la base de politiques sociales mises en place durant les trois décennies ayant suivi 1945.
Jumelées à une attaque politique menée par les néo-libéraux dans les années 1980 et 1990, ces transformations ont appelé à une analyse politique des nouveaux risques sociaux et ont donné lieu à l’émergence d’autres perspectives. Parmi celles-ci, on compte la perspective d’investissement social qui structure désormais de nombreux régimes de citoyenneté sociale. Des idées relatives à l’investissement social et innovation soiale ont été institutionnalisées, souvent à l’initiative de ministres des finances, d’institutions financières internationales ou d’organisations internationales, telles que la Banque mondiale et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Projets en cours
- "L'économie politique et sociale du développement local - structures et acteurs"
- "Les transferts monétaires conditionnels"
LEVASSEUR, Julie
Doctorante
- Action collective
- Mouvements sociaux
- Politique comparée
- Politique environnementale
- Recherche qualitative
- Sociologie politique
- Théories féministes
- Amériques
- Canada
- Canada (Québec)
- Époque moderne
Julie Levasseur étudie au doctorat en science politique sous la direction de Pascale Dufour. Sa thèse porte sur les controverses socioenvironnementales en région périphérique québécoise. Elle s’intéresse plus largement à la sociologie des mouvements sociaux ainsi qu’aux études culturelles, féministes et postcoloniales.
LIMANE, Emma
Doctorante, Auxiliaire d'enseignement (étudiant/e)
MARTEL, Marc-Antoine
Doctorant
- Canada (Québec)
- Médias
- Partis politiques
- Élections
- Communication politique
- Comportement électoral
MARTIN, Pierre
Chercheur, Professeur titulaire
- Politique américaine
- Économie politique
- Opinion publique
- Comportement électoral
- Économie mondiale
- États-Unis
- Canada
- Amérique du Nord
- Relations internationales
- Enjeux environnementaux
- Méthodologie de recherche
- Histoire des relations internationales
- Colonisation et décolonisation
- Environnement
- Politique environnementale
Mes travaux de recherche et mes enseignements portent entre autres sur la politique aux États-Unis, l’économie politique internationale, l’analyse de l’opinion publique et les méthodes de recherche en science politique. Mes recherches récentes ont touchés à divers domaines, y compris les relations canado-américaines, la politique commerciale des États-Unis, les délocalisations et les politiques de contrôle des émissions de gaz à effet de serre.
MÉRAND, Frédéric
Chercheur, Professeur titulaire, Directeur de département
MONIÈRE, Denis
Professeur honoraire
NOËL, Alain
Professeur émérite, Professeur associé
- Politiques sociales
- Politique comparée
- Politique québécoise et canadienne
- Fédéralisme
- État social
- Pauvreté
- Inégalités sociales
- Canada
- Canada (Québec)
- Politique publique
- Politiques publiques
- Politique publique comparée
- Pauvreté et exclusion
- Mouvements sociaux
- Sociologie politique
- Théories sociales et politiques
Mes travaux de recherche portent sur les politiques sociales et sur le fédéralisme en perspective comparée, sur la politique au Canada et au Québec et, plus largement, sur les différents qui opposent la gauche et la droite dans nos démocraties. Je m’intéresse, en particulier, aux politiques publiques qui touchent le principal de ces différents, soit la distribution des revenus entre les citoyens (politiques de lutte contre la pauvreté, politique de sécurité du revenu visant à assurer un soutien financier minimal à tous, politiques du marché du travail).
Ces dernières années, j’ai travaillé notamment sur les stratégies de lutte contre la pauvreté adoptées par les États-membres de l’Union européenne et par les gouvernements provinciaux au Canada. Je me suis également intéressé aux transformations récentes du fédéralisme canadien (déséquilibre fiscal, ententes bilatérales et multilatérales sur les politiques du marché du travail, politiques des provinces concernant les peuples autochtones). Tous ces travaux procèdent de l’idée selon laquelle, en démocratie, la politique sert d’abord à mettre en opposition des conceptions distinctes de la justice sociale.
OUELLET, Catherine
Chercheuse, Professeure adjointe
PAPILLON, Martin
Chercheur, Professeur titulaire
PILLOD, Alizée
Doctorante, Aux. de recherche (étudiant/e)
- Politique environnementale
- Relations internationales
- COVID-19
- Politiques publiques
- Communication politique
- Médias
- Canada
- Canada (Québec)
- 2000 à nos jours
Ses travaux portent sur les effets de cadrage de la crise climatique et leur rôle dans l’apport de changements de politique publique. Elle s’intéresse notamment à la couverture médiatique des impacts des changements climatiques sur la santé humaine au Canada et au Québec.
RENARD, Alexia
Doctorante
ROTHMAYR ALLISON, Christine
Chercheuse, Professeure titulaire
- Pouvoir judiciaire
- Politiques publiques
- Politique publique comparée
- Évaluation des politiques
- Droit et politique
- Europe
- Canada
- Démocratie
- Suisse
- Amérique du Nord
- Bioéthique
- Nouvelles technologies
- Théories sociales et politiques
- Politique publique
Mes projets de recherche se regroupent autour de trois axes. Depuis ma thèse, je m’intéresse aux relations entre les tribunaux et la politique, notamment à la mobilisation légale et l’impact des décisions judiciaires sur la formulation et la mise en œuvre des politiques publiques en Amérique du Nord et en Europe.
Mes projets actuels s’intéressent à l’agenda de la Cour Suprême du Canada (Comparative Policy Agendas), la judiciarisation des politiques en matière de biotechnologies et biomédecine en Europe et en Amérique du Nord, ainsi qu’à la question de la managérialisation du droit.
De manière plus générale, autour d’un deuxième axe de recherche, je vise à contribuer au développement des théories sur les processus de politiques publiques (policy-process theories). Plus particulièrement, mes recherches tentent d’expliquer le choix de politiques dans le domaine des biotechnologies et le changement des politiques publiques à travers le temps (Europe et Amérique du Nord). Ce deuxième axe englobe aussi un volet de recherche sur l’utilisation des sondages dans la formulation et la mise en place des politiques publiques.
Finalement, dans un troisième axe, mes intérêts de recherche portent sur des aspects plus appliqués : je possède d’expérience de plus de 10 ans dans l’évaluation des politiques publiques. D’origine suisse, je continue évidemment de travailler sur la politique suisse!
SABOURIN, Olivier
Doctorant, Auxiliaire d'enseignement (étudiant/e)
SAINT-MARTIN, Denis
Chercheur, Professeur titulaire
- Corruption
- Éthique parlementaire
- Bureaucratie
- Technocratie
- Sociologie des organisations
- Expertise
- Europe
- Amérique du Nord
- Administration publique
- Politiques sociales
- Citoyenneté
- Éthique
- Action collective
- Parlementarisme
- Canada
- Canada (Québec)
Denis Saint-Martin est professeur et chercheur dans le domaine de l’administration et des politiques publiques. Ses travaux s’intéressent aux institutions de l'action collective et aux dilemmes produits lorsque la poursuite rationnelle d’intérêts individuels conduit à des résultats irrationnels sur le plan collectif. Ses projets actuels portent sur les problèmes de l’autorégulation parlementaire en matière d’éthique et de conduite, et sur l'autonomisation des ministères des finances dans les pays du G20 comme mécanisme d’engagement crédible dans la politique de la discipline fiscale.
Champs d'expertise
- Administration publique
- Science et politique
- Politiques sociales
STAMM, Christoph B.
Chargé de cours
- Sociologie de l'environnement
- Pratiques alternatives de citoyenneté
- Analyses des transitions
- Action collective
- Coopération et autogestion
- Sociologie économique
- Relations Nord-Sud
- Recherche qualitative
- Rapports état/société civile
- Politique environnementale
- Canada (Québec)
- Canada
- Suisse
- Allemagne
Recherches en cours : Monnaies alternatives et société de post-croissance
Champs d'intérêts: Transition socioécologique, société de post-croissance, monnaies alternatives, théories néo-institutionnelles, responsabilité sociétale des entreprises, régulation transnationale des entreprises, ISO 26000, FSC
THÉRIEN, Jean-Philippe
Professeur titulaire, Chercheur
- Coopération internationale
- Organisations internationales
- Relations internationales
- Relations Nord-Sud
- États-Unis
- Amérique du Nord
- Droit et politique
- Consolidation de la paix
- Gouvernance mondiale
- Sécurité internationale
- Paix et sécurité
- Développement durable
- Politique américaine
- Canada
- Droits de la personne
L’essentiel de mes recherches porte sur la coopération internationale. Je m’intéresse à ce phénomène-là à travers ses manifestations à la fois globales et régionales. Mon travail sur la coopération globale s'est par exemple penché sur le rôle que jouent les Nations Unies dans le développement des pays du Sud. Sur le plan régional, je m'intéresse notamment à la dynamique de la coopération inter-américaine.
Deux idées directrices marquent l'ensemble de mes recherches. La première, c'est que les institutions internationales exercent une influence qui est souvent sous-estimée sur le cours des relations internationales. La deuxième, c'est que les valeurs qui animent les acteurs politiques (qu'il s'agisse d'organisations internationales, de gouvernements ou de simples citoyens) façonnent leur approche de la coopération internationale.