Experts en : Moyen-Orient
ABDULLAH, Jamal
Chargé de cours
DESCHAMPS-LAPORTE, Laurence
Directrice, Professeure adjointe
LACHAPELLE, Jean
Professeur adjoint, Chercheur
- Régimes autoritaires
- Politique comparée
- Moyen-Orient
- Afrique du Nord
- Autoritarisme
- Égypte
- Démocratisation et résiliences autoritaires
- Démocratie
- Démocratisation
Jean Lachapelle est professeur adjoint au Département de science politique de l’Université de Montréal. Auparavant, il a été professeur adjoint au Département de science politique de l’Université d’Oslo (2021-2022). Il a également été chercheur au Varieties of Democracy (V-Dem) Institute de l’Université de Göteborg (2019-2021), chercheur postdoctoral au Weiser Center for Emerging Democracies de l’Université du Michigan (2017-2019), et chercheur predoctoral (Predoctoral Fellow) au Middle East Initiative de l’Université Harvard (2014-2015). Il détient un doctorat en science politique de l’Université de Toronto.
Ses recherches portent sur la politique des régimes autoritaires, la violence étatique et la démocratisation. Il rédige actuellement un livre qui traite du lien entre répression et résilience autoritaire, lequel s’appuie sur des études de terrain menées en Égypte et au Moyen-Orient. Ses travaux sur les coups d’État, les révolutions, l’érosion démocratique, et la politique du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord ont paru dans Journal of Democracy,Journal of Politics, World Politics, Comparative Politics, Social Science and Medicine, et International Political Science Review.
ZAHAR, Marie-Joelle
Professeure titulaire
- Sécurité internationale
- Violence politique
- Acteurs armés non-étatiques
- Résolution des conflits
- Médiation
- Consolidation de la paix
- Afrique subsaharienne
- Paix et sécurité
- Conflits ethniques
- Moyen-Orient
- Balkans
Depuis plus de dix ans, je mène des recherches sur la violence politique. Spécialiste des groupes armés non-étatiques, je m’intéresse à la manière dont ces groupes s’organisent, organisent les territoires sous leur contrôle, et gèrent leur relation avec les populations civiles. J’ai également un intérêt pour l’analyse de la violence politique dans des contextes de transition entre un état de guerre et une situation "post-conflit". Quand et dans quelles conditions les différents protagonistes d’un conflit interne retournent-ils aux armes et pourquoi? Quelles stratégies les intervenants externes peuvent-ils déployer pour empêcher la violence politique de faire dérailler les accords de paix? Mes analyses dans ce domaine remettent en question l’utilité de la notion de saboteur, communément admise comme le cadre explicatif le plus répandu sur la violence politique en contextes de transition. Enfin, depuis quelques années, je m'intéresse à la médiation comme voie de résolution pacifique des conflits. Quelles sont les caractéristiques des processus de médiation qui facilitent la négociation d'accords de paix? Comment la médiation internationale s'adapte-t-elle pour répondre aux changements dans la nature des conflits armés?
Plus généralement, mes recherches portent donc sur la résolution des conflits et la consolidation de la paix. Je mène celles-ci de manière comparatiste et ai travaillé sur de multiples terrains au Proche-Orient, en Afrique subsaharienne et dans les Balkans. Je me suis récemment penchée sur l’assistance internationale à l’organisation et à la tenue d’élections dans les situations "post-conflit". Je mène également des recherches sur l'inclusion de représentants de la société civile dans les négociations de paix.
ZAHAR, Marion
Auxiliaire d'enseignement (étudiant/e), Doctorante