Dans un article pour La Presse, Marie-Joëlle Zahar analyse la dominance politique de Benyamin Nétanyahou en tant que premier ministre de l’Israël.
Citation : « D’abord, il y a eu l’effritement de la gauche israélienne après l’échec des accords d’Oslo. Deuxièmement, la phobie des islamistes en Occident après les attentats du 11 septembre l’a aidé aussi. Ça va de pair avec son discours qui dit qu’on ne peut pas négocier avec ces gens-là, et ce, même s’il y a eu des ententes avec le Hamas dans le passé. »