Pour The Conversation, notre professeur Éric Montpetit et notre doctorant Antoine Lemor s'intéressent à la place des preuves scientifiques dans le processus de décisions politique au Québec, en prenant l'exemple de la Fonderie Horne.
Extrait : « Lorsque nous prétendons avoir la preuve de quelque chose, nous avons tendance à agir en conséquence, car nous pensons connaître la vérité. On pourrait donc penser que lorsqu’une nouvelle preuve scientifique est disponible, celle-ci devrait suffire en elle-même à entraîner une décision politique. Or, comme le montre la récente évaluation de risques de cancers dans la ville de Rouyn-Noranda et les négociations gouvernementales avec la fonderie Horne considérée responsable, la réalité semble bien plus complexe ».
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