Martin retrace les origines du néo-libéralisme et dresse l’état des lieux de son influence contemporaine. Augustin Simard dirige ses travaux de thèse.

Mélanie examine les dynamiques du conflit israélo-palestinien, mues sous l’influence de l’aide internationale. Pour mener à bien sa thèse, elle peut compter sur l’expertise de Marie-Joëlle Zahar.

« Le programme d’études internationales de l’Université de Montréal, qui regroupe plusieurs disciplines (science politique, histoire, économie et droit), était tout indiqué pour moi. »

J’ai choisi l’Université de Montréal parce que le BAC en science politique est considéré comme l’un des meilleurs programmes francophones au monde dans le domaine. En plus des simulations d’organisations internationales, j’aime la vie étudiante et les profs du Département.

« Le Département a des professeurs très compétents, et ce, dans une diversité impressionnante de domaines. La culture départementale encourage les étudiants à aller plus loin que leurs études. »

« Le baccalauréat en études internationales couvre 4 matières principales (politique, économie, droit et histoire), ce qui me permet d’ouvrir mes horizons et de découvrir des spécialisations qui pourraient me mener à des études de cycles supérieurs. »

Alison consacre sa thèse à l’étude des politiques vancouvéroises et montréalaises en matière de logement. Elle peut compter dans ses démarches sur le soutien d’Alain Noël, son directeur de thèse.

« La réputation du Département est reconnue sur la scène mondiale. Avoir des professeurs renommés est assez stimulant dans le cheminement d’un étudiant! »

« L’Université de Montréal jouit d’une solide réputation dans le champ de la science politique et il est possible d’y travailler avec des professeurs et des chercheurs reconnus. »