Parlez-nous de votre cheminement universitaire.  

J’ai effectué mon baccalauréat en Science politique et sociale à l’Ile de la Réunion. 10 000 km plus tard, je me retrouve en France à l’Université de Lille à étudier les sciences politiques, un choix naturel compte tenu de ma curiosité grandissante dans ce domaine. Deux ans plus tard,  me voici à traverser l’Atlantique pour étudier à l’Université de Montréal dans le cadre d’un échange.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix à vous inscrire au baccalauréat en science politique à l’Université de Montréal?

Ce fut un choix incontestable. La réputation du Département est reconnue sur la scène mondiale. Avoir des professeurs renommés est assez stimulant dans le cheminement d’un étudiant ! 

Qu’aimez-vous du Département de science politique de l’Université de Montréal?

J’aime la vie étudiante très riche et la disponibilité des enseignants. Les conférences offertes sont  aussi très enrichissantes. J’ai particulièrement apprécié, à la rentrée de 2017, une conférence de Yascha Mounk, professeur à  Harvard, qui nous a parlé de la crise de la démocratie.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix à participer à un échange?

J’ai toujours rêvé de visiter le Canada. Je n’avais pas les moyens d’étudier à l’étranger, mais une occasion s’est présentée grâce au partenariat entre  le Département et l’Université de Lille. Je souhaite, durant  cet échange, développer mon capital social et tisser des liens pour agrandir mon réseau professionnel. C’est aussi très intéressant de rencontrer des femmes et des hommes politiques qui ont marqué la société nord-américaine!

Êtes-vous impliqué dans les activités ou la vie étudiante du Département?  

Dès mon arrivé à l’Université de Montréal, mon objectif était de m’impliquer dans la vie étudiante. J’ai effectué des activités auprès de l’Action humanitaire et communautaire (AHC) et j’ai fait le programme de parrainage pour découvrir ce que l’université propose pour les étudiants internationaux. J’ai aussi rejoint, bénévolement, l’association Sobriété UdeM pour proposer des bars sans alcool pour les évènements de l’université.   

Quelles sont vos aspirations professionnelles ou universitaires pour les prochaines années? 

J’aimerais poursuivre à la maîtrise en science politique ou en sociologie. Par la suite, je voudrais m’investir dans l’arène parlementaire en Europe pour travailler auprès des élus et peut-être, un jour, me lancer en politique. J’aimerais contribuer à l’évolution de la société et lutter contre les injustices sociales et économiques.