L'opinion de Jean François Godbout et Eric Bélanger sur le débat de réforme du scrutin au Québec publiée dans le Devoir.
Extrait : « Les résultats des dernières élections québécoises ont confirmé encore une fois les limites du mode de scrutin uninominal majoritaire à un tour. Nul besoin de rappeler les aléas du mécanisme de comptage, qui crée d’importantes distorsions entre le nombre de votes et le nombre de sièges obtenus par les partis. Or, on trouve dans notre système politique un élément de proportionnalité bien réel qui reflète presque parfaitement la volonté populaire exprimée lors du scrutin : on parle ici des allocations de financement, qui sont versées annuellement aux partis politiques par Élections Québec. »
À lire ici