Dans une entrevue accordée à Radio-Canada, le professeur Martin Papillon commente l’évolution des mobilisations autochtones et leur rapport au gouvernement canadien.
EXTRAIT: La pression vient à travers la mobilisation activiste et ce qui va amener, je pense, les gouvernements à réagir de façon plus proactive. Ou en tout cas, ils n'auront pas le choix, à mon avis, de poser des gestes un peu plus concrets pour la transformation des relations.
Je crois qu'il y a eu une période dans les dernières années où on a fait confiance au processus décisionnel, au processus politique. Et là, on est dans une dynamique où on fait moins confiance.