Dans un article pour Raison d’État, l’étudiante à la maîtrise Amandine Hamon (CÉRIUM) revient sur l’appel du Secrétaire général des Nations Unies à un cessez-le-feu mondial. Elle s’attarde notamment sur les zones de conflit particulièrement touchées par la COVID-19, et la relative efficacité d’un tel appel.
EXTRAIT : En somme, si le message de paix d’Antonio Guterres est un effort louable pour souligner la vulnérabilité accrue de certaines populations dans ce contexte, il ne faut pas prendre pour acquise son efficacité ni mettre tous les groupes armés dans la même case. Que les armes soient déposées dans certains cas particuliers ne garantit pas la réception unanime de cet appel, aussi inspirant soit-il.