Dans une chronique pour le Devoir, Mélanie Lussier explique l’échec du naming and shaming (ou mise au pilori) comme levier pour l’action climatique.
Citation : « Bien exécuté, le naming and shaming pourrait devenir une arme redoutable dans la diplomatie climatique. Des classements clairs et hiérarchisés, accompagnés d’indicateurs simples, permettent de repérer facilement les États à la traîne. »