Dans un article de La Presse, André Blais commente la personnalisation des candidats durant la campagne présidentielle américaine.
Citation : « Il y a quand même un coût à ça. Ça favorise selon moi la personnalisation du politique, ce qui n’est pas toujours salutaire. Aux États-Unis, par exemple, on ne parle presque pas des élections au Sénat et au Congrès, qui sont presque aussi importantes et qui sont souvent très serrées. »