Dans un article pour le Devoir, Catherine Xhardez décrit la situation des demandeurs d’asile au Québec.
Citation : « C’est sûr qu’en gardant des seuils assez stables [de résidents permanents], ça crée un goulot d’étranglement. C’est comme un robinet. Une fois que le nombre fixé par Québec est atteint, Ottawa ferme le robinet. Pour les autres, il faut attendre le prochain quota. »