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Pascale Devette s’exprime sur la portée politique et sociale de l’attentat de Polytechnique

Dans une entrevue accordée à La Presse, la professeure Pascale Devette discute en compagnie de son grand-oncle Yvon Bouchard, professeur, et présent au moment de l’attentat de Polytechnique qui a fait quatorze victimes. Ils s’expriment sur le devoir de mémoire, la thématique phare de la commémoration des trente ans de l’évènement à l’Université de Montréal.

 

EXTRAIT : Il y avait un « avant Poly » et un « après Poly ». Il y avait aussi des conditions sociales qui avaient permis que cette tuerie se produise. Et il aura fallu près de 30 ans pour utiliser les mots « attentat antiféministe » et « féminicide ».

 

La jeune femme voit dans la difficulté à trouver les bons mots après Poly des échos de l’expérience traumatique des rescapés de guerre. Elle pense à son grand-père paternel, réfugié hollandais qui a été fait prisonnier durant la Seconde Guerre. Marquée par sa lecture d’Anne Frank, Pascale Devette demandait souvent à son grand-père : « C’était comment, les camps ? »

 

À lire ici : https://www.lapresse.ca/actualites/201911/23/01-5250964-attentat-de-polytechnique-il-a-tue-mes-filles.php?