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Maxime Pelletier revient sur le problème de la représentation politique des anglophones à Montréal

Dans un texte publié dans le Journal de Montréal, Maxime Pelletier revient sur le problème de la représentation politique des anglophones à Montréal en précisant qu’il n’est pas la conséquence du découpage de la carte électorale.

 

Extrait :

« Le premier problème vient d’abord du fait que les villes défusionnées sont, effectivement... défusionnées. Comme toutes les villes défusionnées sur l’ïle de Montréal se trouvent à l’ouest (à l’exception de Montréal-Est), le centre de gravité politique de la Ville de Montréal se situe en fait davantage vers l’est, majoritairement francophone. Minoritaires au sein du conseil d’agglomération, absentes au conseil municipal, les villes défusionnées sont effectivement plutôt isolées politiquement. Alors que la mairesse de Montréal a l’oreille du gouvernement provincial lorsqu’elle en a besoin, on peut effectivement douter que le maire de Hampstead bénéficie d’un tel traitement. »

 

Lire l’article : 

https://www.journaldemontreal.com/2018/09/07/le-vrai-probleme-des-anglophones