Dans une entrevue pour TVA Nouvelles, la professeure Laurence Bherer a commenté le phénomène d’élection sans opposition, observé au cours des quatre dernières élections municipales au Québec. Selon elle, cette tendance est due à un déficit informationnel au niveau municipal.
EXTRAIT : Pour Laurence Bherer, il faut «se méfier» des prétentions de maires qui disent ne pas avoir d’opposants en raison d’une satisfaction généralisée chez les citoyens.
«Pour moi, c’est beaucoup plus parce que les enjeux ne sortent pas. Au niveau municipal, il y a un déficit informationnel. Si dans ces municipalités-là il n’y a pas de médias hyper locaux, peut-être que les citoyens ne sont pas nécessairement au courant ce qu’il se passe.»