Dans une chronique pour le Devoir, Georges Mercier revient sur la défaite du Parti démocrate lors des élections américaines de ce novembre.
Citation : « Autrement dit, les gauches doivent apprendre à mener une politique sale, une politique qui s’adresse au peuple tel qu’il est, dans toutes ses turpitudes, plutôt qu’au peuple tel qu’il pourrait devenir. Pour la suite du monde ? À voir la litanie de nominations absurdes auxquelles procède Donald Trump, on ne peut que regretter que la pureté l’ait emporté sur le désir de gagner chez la gauche du sud de la frontière. Je suppose que c’est regrettable, mais on ne fait pas d’omelettes sans casser deux ou trois œufs. »