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Il faut un pôle québécois en analyse du risque politique, selon Frédéric Mérand

Dans un article pour la Presse, le professeur et directeur du CÉRIUM Frédéric Mérand, et son collègue Adib Bencherif, professeur à l’Université de Sherbrooke, expliquent pourquoi le développement d’une grappe québécoise de l’expertise en analyse du risque politique permettrait de structurer le secteur en associant recherche scientifique, praticiens et milieux décisionnels.  

 

EXTRAIT : Il y a une occasion à saisir. Dans une enquête d’opinion récente, le cabinet-conseil EY révèle que les dirigeants d’affaires considèrent que les risques politiques ont un impact grandissant sur les activités commerciales et économiques. Une grappe québécoise dans ce domaine permettrait de mieux répondre à ce besoin. Ceux-ci seraient ainsi plus à même d’atténuer les impacts des risques liés à l’intelligence artificielle, aux problèmes environnementaux, aux enjeux sanitaires, à la radicalisation et à la polarisation sociale, aux conflits multidimensionnels entre grandes puissances et à une pléthore d’autres phénomènes sociopolitiques de par le monde. 

 

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