Dans une entrevue pour RFI, la doctorante Garance Robert parle de la répression qu’a subie l’opposition politique au président du Nicaragua, nouvellement réinvesti à la tête du pays.
EXTRAIT: « 40 prisonniers politiques, arrêtés entre fin mai et octobre, sont encore emprisonnés et on estime à 160 le nombre total de personnes emprisonnées pour des raisons politiques au Nicaragua » détaille notre invitée, Garance Robert, doctorante en sciences politiques à l'Université de Montréal, spécialiste des questions des droits humains en Amérique Centrale. Et d’ajouter « le fait qu’ils soient maintenus prisonniers alors même que les élections sont passées montre bien à quel point ils (Daniel Ortega et Rosario Murillo) se sentent menacés et sont obligés de gouverner par la terreur ».