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Denis St-Martin s'interroge sur l’éthique en politique et la liberté des riches

Dans un texte pour La Presse+, le professeur Denis St-Martin revient sur l’affaire Fitzgibbon, le ministre de l’Économie du Québec objet d’une réprimande de la commissaire à l’éthique, Ariane Mignolet. Le professeur dresse le parallèle entre les entraves à l’éthique et la richesse des politiciens, qui selon le chercheur se sentiraient « moins contraints dans leur comportement par les normes éthiques environnantes que les moins nantis. » 

 

EXTRAIT : Dans les faits, sur le plan de l’actus reus, le ministre est politiquement intervenu dans un processus bureaucratique – en principe impartial – pour qu’une entreprise dans laquelle il possède des intérêts reçoive un traitement particulier de la part des fonctionnaires. Point à la ligne. 

 

Le premier ministre appuie son ami « à 100 % », dit-il. Il faudrait réviser le code d’éthique pour l’adapter au ministre, et non l’inverse. Il faudrait que les institutions s’ajustent aux conditions des plus riches, qui sont, de nos jours, plus nombreux en politique et au gouvernement. 

 

À lire ici.