Dans un article publié dans Le Devoir, Denis Saint-Martin propose une analyse de l’affaire SNC-Lavalin en posant la question: qui s’est véritablement ingéré dans la justice anticorruption?
Extrait :
«Jody Wilson-Raybould accuse le premier ministre et ses conseillers d’avoir exercé sur elle une pression indue pour que son ministère reconsidère sa décision de ne pas suspendre ses poursuites contre SNC-Lavalin pour des affaires de corruption en Libye. Ses preuves pour montrer qu’il y aurait eu une ingérence inappropriée se trouvent dans les mots du premier ministre, qui aurait parlé «des emplois et des élections qui s’en viennent» pour éviter à SNC-Lavalin une reconnaissance de responsabilité criminelle qui pourrait priver la firme de contrats publics dans les pays signataires des accords internationaux de lutte contre la corruption.»
Lire l’article :