L’Union européenne et les États-Unis sont préoccupés par la surcapacité industrielle verte de la Chine. Ils doivent plutôt revoir leurs propres politiques industrielles, selon une chercheuse de l’Université de Montréal.
Citation : « L’Europe et les États-Unis accusent la Chine de subventions massives, et ils ont bien raison. Cependant, pour qu’une nouvelle industrie prospère et arrache sa part de marché dans une rivalité mondiale de plus en plus féroce, fermer son marché à la concurrence externe n’est que la première étape. »