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Alexie Labelle réagit à l’article d’Aurélie Lanctôt en rappelant la plus grande vulnérabilité de certains étudiant-e-s face à la détresse psychologique.

Dans un article publié dans le Devoir, Alexie Labelle réagit au billet publié par Aurélie Lanctôt sur la détresse psychologique vécue par les étudiantes et étudiants à la maîtrise et au doctorat au sein des universités québécoises. Elle rappelle que les étudiantes et étudiants ne sont pas tous égaux devant cette détresse. 

 

Extrait :

« Bien que la détresse psychologique généralisée (et banalisée) au sein de nos universités puisse relever d’une logique plutôt marchande de l’éducation, il demeure tout de même essentiel de tenir compte des nombreux rapports de pouvoir (de genre, de sexualité, de race, de capacités, etc.) qui non seulement structurent les établissements d’enseignement supérieur québécois, mais qui rendent plus vulnérables certaines et certains d’entre nous, particulièrement les femmes, les membres des minorités sexuelles et de genre, les membres des minorités racisées et les personnes en situation de handicap. »

 

Lire l’article :

https://www.ledevoir.com/opinion/libre-opinion/530708/l-universite-fait-naufrage-pour-certains-plus-que-d-autres